Correspondance visuelle durant l’été 2005 autour de l’état du monde.
Edition de 12 cartes postales tirées de cette correspondance (100 ex. Epuisé)
Esquissez trois pas dans le paysage et de ce fait tracez une ligne :
un point de départ, un point d’arrivée et deux espaces de part et d’autre s’offrent avec leurs différences.
A moins que vous ne tourniez en rond.
Les limites, celles que l’on nous impose, et celles que l’on s’impose.
La vie comme une histoire de tracés dans l’espace.
fait l’inventaire des nombreux espaces qu’elle traverse, dans une accumulation poétique et silencieuse : est-ce que photographier ce n’est pas toujours montrer le même espace, celui qui nous touche où que l’on soit ?
a suivi le parcours d’Isabelle Imbert qui a hérité, à la mort de son père, de son outil de travail : un atelier de mécanicien, des milliers d’objets superposés, 40 années de labeur accumulées. Comment prendre possession d’un territoire dont on hérite ? Comment pénétrer dans le domaine réservé d’un être cher et le faire sien ? Comment le désacraliser ? Est-ce possible, et comment ?
a parcouru la frontière de la Zone Franche Urbaine (ZFU) de Toulouse. En cherchant cette ligne tracée sur la carte, il questionne l’existence des zones dites « prioritaires » (ZFU, ZRU, ZUS, ZEP,…). Ce travail est étroitement lié à la dimension sociale de ces territoires. Délimiter pour désenclaver ?
met en valeur dans ces juxtapositions d’images intérieur/extérieur, la nature domestiquée et l’impossibilité d’en faire abstraction dans les objets qui nous entourent. Qu’est ce que ces images de nature véhiculent donc, qui nous poussent à nous entourer d’elles ? Mais de quelle nature parlent-t-elles ?
Tout comme il n’y a pas de lumière dans un phosphène, juste une impression lumineuse,
il n’y a pas de f dans phosphène.
f de phosphène est d’abord un lieu d’échanges et d’expérimentations autour de l’image en général et de la photographie en particulier, avec une inclination spécifique pour la correspondance. Celle qui emprunte les voies postales ou numériques mais aussi celle qui cherche à créer des liens ou des confrontations entre les images et les points de vue des photographes. Tous aiment que leurs images voyagent. Ils ont choisi de les diffuser sur des supports mobiles comme la carte postale, l’affiche ou le livre. Ces supports offrent aussi l’avantage d’être accessibles à tous.
Depuis sa création en 2005, ont activement participé aux projets du collectif les photographes Dorothy Goizet, Sophie Le Béon, Benoît Luisière et Gil Sutra ainsi que les plasticiennes Sandrine Corte et Isabelle Imbert.
Depuis 2010, des artistes extérieurs au collectif, dessinateurs, peintres, écrivains ou photographes, sont invités à participer à nos expérimentations dans les revues dé-Pliée, Tak au Tak ainsi que dans nos collections de livres d’artiste : 10 Tentatives (depuis 2011) et la dernière née, L’un dans l’Autre (2022).
f de phosphène est une association de loi 1901.
7bis rue de l’Amiral Galache, 31300 Toulouse.
Nous contacter : contact@fdephosphene.org
copyright f de phosphène / 2010-2022. Tous droits de reproduction et de représentation réservés.
Numéro dirigé par Maxime LÉONARD.
Ramener l’image à ce qu’elle est : un support, une matière, infra-mince. Se tenir éloigné de son ensorcellement.
Numéro dirigé par Sophie LE BÉON.
Inspiré des petites annonces parues dans Libération à la rubrique «Entre nous».
Numéro dirigé par Benoît LUISIÈRE qui propose les images du recto et invite le collectif à réagir à l’annonce du verso.
L’atelier de ferronnerie de Benoît Hérouard est investi par le collectif
pour le lancement de Phosphène éditions, les 12 et 13 décembre 2008.
La foi, des hôtels, nombreux, et des souvenirs en plastique.
Série de 14 cartes (10,5 x 15 cm). Tirage 100 exemplaires.
12 cartes sans jouteurs, ni recettes illustrées de tielle ou de macaronade,
mais avec de l’eau, de la lumière et surtout le sentiment d’être en partance.
Série de 14 cartes (10,5 x 15 cm).Tirage 100 exemplaires – 2ème édition.
Les membres du collectif partagent la même passion pour cet objet visuel mobile qu’est la carte postale qu’ils cherchent à renouveler en offrant d’autres points de vue sur les villes traversées.
A Toulouse, F de phosphène propose d’autres vues que celles des façades roses des cartes postales du centre-ville. 15 images ont été sélectionnées et éditées.
15 » Prise de villes « , 15 cartes postales d’un autre Toulouse. Étrange et quotidien.
(Tirage 100 exemplaires. Epuisé)